Bonjour Mareva,
Comme toutes les autres, je suis révoltée qu'une fois encore les gens aient si peu d'amour dans le coeur ! Comment peut-on te faire des reproches ? Que font-ils de si merveilleux, est-ce si parfais que cela chez eux ? Laisse les dire, même si c'est dur et que tu es en droit d'attendre un soutient que tu ne trouve pas...
Si j'écris, c'est à propos du caractère "difficile" de ton fils, te faire part de ma propre expérience. J'ai eu comme beaucoup des mauvais passages dans ma vie, et c'est toujours ces moments là que mon fils à "choisi" pour devenir infernal, ou ne plus dormis la nuit, ou se blesser... ou les trois en même temps !

Tout ça pour dire que je pense fermement, comme son pédiatre d'ailleurs, que les enfants ressentent notre malheur, même si nous cherchons à les en protéger, et que c'est leur façon à eux de nous obliger à penser à autre chose. Ils sentent que c'est nécessaire, et c'est le seul moyen qui leur semble à disposition.
Il faut de la fermeté, et c'est très dur lorsqu'on est triste, car on ne veut surtout pas rendre son enfant triste à son tour. C'est un équilibre très difficile à trouver quand on est malmené émotionnellement.
Je suis sûre que tu finiras par trouver le moyen de bien comprendre l'agitation de ton petit, et que tu parviendras à le "recadrer" sans heurs.
Plein de courage à toi.