L'UNICEF préconise de partager la chambre ( pas le lit ) de son bébé jusqu'à 6 mois parce que les études montrent que ça pouvait réduire les cas de mort subite du nourrisson.
Parmi les thèses avancées :
* les bébés ont des phases de sommeil plus courtes que les adultes et ils ont davantage de phase de sommeil paradoxal ( d'où les réveils nocturnes ). Ils ont de très courtes phases de sommeil profond.
Leur immaturité fait qu'ils peuvent avoir des difficultés pour sortir du sommeil profond.
Les bébés qui partagent la chambre des parents ( ou d'autres personnes, frères et soeurs, grands-parents...) dorment moins profondément que ceux qui sont seuls. Du coup, ils peuvent se réveiller davantage ( ça n'est pas un avantage pour papa maman !
) mais ces réveils fréquents évitent qu'ils ne restent trop longtemps en sommeil profond à un âge où ils peuvent avoir des difficultés à s'en sortir.
D'autres éléments sont des facteurs à risque pour la mort subite du nourrisson :
- le non allaitement
- un ou les parents fumeurs
- un bébé couché sur un matelas mou, un matelas à eau par exemple
- le bébé couché sur le ventre
- une maison mal aérée, trop chauffée...
Dans tous les cas, il ne s'agit pas de dire qu'en évitant ces facteurs, les risques de mort subites sont évités à tous les coups.
Malheureusement, rien ne peut mettre à l'abri de manière absolue de ce drame atroce que vivent des centaines de familles par an.
Cigogne, maman d'Esther, 22 mois
Parmi les thèses avancées :
* les bébés ont des phases de sommeil plus courtes que les adultes et ils ont davantage de phase de sommeil paradoxal ( d'où les réveils nocturnes ). Ils ont de très courtes phases de sommeil profond.
Leur immaturité fait qu'ils peuvent avoir des difficultés pour sortir du sommeil profond.
Les bébés qui partagent la chambre des parents ( ou d'autres personnes, frères et soeurs, grands-parents...) dorment moins profondément que ceux qui sont seuls. Du coup, ils peuvent se réveiller davantage ( ça n'est pas un avantage pour papa maman !

D'autres éléments sont des facteurs à risque pour la mort subite du nourrisson :
- le non allaitement
- un ou les parents fumeurs
- un bébé couché sur un matelas mou, un matelas à eau par exemple
- le bébé couché sur le ventre
- une maison mal aérée, trop chauffée...
Dans tous les cas, il ne s'agit pas de dire qu'en évitant ces facteurs, les risques de mort subites sont évités à tous les coups.
Malheureusement, rien ne peut mettre à l'abri de manière absolue de ce drame atroce que vivent des centaines de familles par an.

Cigogne, maman d'Esther, 22 mois