Ho Flo, non, ne prends pas ça pour toi...Comme te le dit si bien Briandhuet, ne doute pas de toi.
Les pipis quand j'ouvrais la couche, j'en ai eu pas mal, son père aussi, c'est vraiment un coucours de circonstance.
Tu as fait ce qu'il y a de mieux pour ta poupée sur le plan de l'allaitement, d'autant que tu as du te battre contre les avis un peu contraires de celui qui aurait du te soutenir. C'est très courageux de ta part, surtout lorsque la fatigue est à son comble.
J'ai été contrainte d'arrêter l'allaitement maternel car des crétins triple de la mater refusaient de me laisser sortir tant que ma puce ne reprenait pas un certain nombre de grammes (elle avait un poids normal et née à terme), j'ai craqué au 6ème jour et curieusement, c'est à ma fille que j'en ai voulu.
Moi aussi, j'en avais ras le bol de tirer mon lait sur un seul sein dont elle ne voulait rien prendre et ras le bol d'entendre que mon allaitement était compliqué, que j'avais une fraise tagada en guise de mamelon...Mais le Papa me soutenait. J'avais ceci de moins que toi, et c'est beaucoup car autrement j'aurais franchement craqué.
Pour ce qui est du jet de lait, ma puce m'a fait ça lorsqu'elle est passée au lait artificiel.
Votre relation est unique, l'attachement maternel, contrairement aux idées reçues, ne se fait pas du jour au lendemain, il se construit. Certes, l'allaitement maternel aide énormément car en allaitant, une hormone est sécrétée favorisant justement cet attachement.
En arrêtant d'allaiter, j'ai eu l'impression de ne plus servir à rien, que n'importe qui pourrait s'en occuper, ma fille serait la même, ma voisine, ma belle-mère, ma mère et pourquoi pas une passante ...
Je sais que la fatigue y est aussi pour beaucoup et s'occuper d'un bébé, lorsque c'est le premier, c'est souvent non stop...
Pour le reste, continuer ou pas à allaiter, tu es la seule à pouvoir le décider, il ne faut pas que tu souffres, que tu te tortures en pensant voir des signes de ta puce qui n'en sont pas. Tu te fais trop souffrir en pensant ça.
Je te souhaite beaucoup de courage, repose-toi surtout et n'oublie pas, votre relation est unique et tu verras, dans quelques mois, tu n'auras aucun doute face aux sourires de ta poupée...
Les pipis quand j'ouvrais la couche, j'en ai eu pas mal, son père aussi, c'est vraiment un coucours de circonstance.
Tu as fait ce qu'il y a de mieux pour ta poupée sur le plan de l'allaitement, d'autant que tu as du te battre contre les avis un peu contraires de celui qui aurait du te soutenir. C'est très courageux de ta part, surtout lorsque la fatigue est à son comble.
J'ai été contrainte d'arrêter l'allaitement maternel car des crétins triple de la mater refusaient de me laisser sortir tant que ma puce ne reprenait pas un certain nombre de grammes (elle avait un poids normal et née à terme), j'ai craqué au 6ème jour et curieusement, c'est à ma fille que j'en ai voulu.
Moi aussi, j'en avais ras le bol de tirer mon lait sur un seul sein dont elle ne voulait rien prendre et ras le bol d'entendre que mon allaitement était compliqué, que j'avais une fraise tagada en guise de mamelon...Mais le Papa me soutenait. J'avais ceci de moins que toi, et c'est beaucoup car autrement j'aurais franchement craqué.
Pour ce qui est du jet de lait, ma puce m'a fait ça lorsqu'elle est passée au lait artificiel.
Votre relation est unique, l'attachement maternel, contrairement aux idées reçues, ne se fait pas du jour au lendemain, il se construit. Certes, l'allaitement maternel aide énormément car en allaitant, une hormone est sécrétée favorisant justement cet attachement.
En arrêtant d'allaiter, j'ai eu l'impression de ne plus servir à rien, que n'importe qui pourrait s'en occuper, ma fille serait la même, ma voisine, ma belle-mère, ma mère et pourquoi pas une passante ...
Je sais que la fatigue y est aussi pour beaucoup et s'occuper d'un bébé, lorsque c'est le premier, c'est souvent non stop...
Pour le reste, continuer ou pas à allaiter, tu es la seule à pouvoir le décider, il ne faut pas que tu souffres, que tu te tortures en pensant voir des signes de ta puce qui n'en sont pas. Tu te fais trop souffrir en pensant ça.
Je te souhaite beaucoup de courage, repose-toi surtout et n'oublie pas, votre relation est unique et tu verras, dans quelques mois, tu n'auras aucun doute face aux sourires de ta poupée...