Re : La fessée ?
J'ai reçu des fessées petite... ma mère avait la main facile... un peu trop... pour autant je n'ai pas été une enfant martyr ou battue ou autre. Une mère un peu trop sévère et pas assez tendre.
Mon père ne m'a jamais touchée. Mais j'étais une enfant facile. Les deux suivants... ont été terribles et j'ai vu ma mère en pleurer.
Ce n'est pas qu'on se sent dépassées, c'est qu'à un moment... il n'y a plus de possibilité de dialoguer avec un enfant difficile. Même si c'est l'habitude de la maison, si le dialogue et l'explication sont l'habitude éducative... PArfois aussi la fessée peut partir après une grosse trouille. Lucas un matin : on passe le pas de la porte et je lui dis attends une seconde j'ai oublié un truc. J'avance dans le couloir (3 mètres) je prend le truc dans mon sac et je me retourne, plus de Lucas !!!! Et cela en mois de 30 secondes !
Je précise qu'on habite dans les logements de fonction du Lycée que tout le monde connait Lucas ici et qu'il ne risque pas de faire une mauvaise rencontre dans l'immeuble. Je descend l'étage (un seul étage chez nous) et pas de Lucas, là je flippe, les camions de livraisons manoeuvrent sur le parking (nous donnons sur les cuisines)... et je vois mon Lucas... en train de faire le couillon sur ce parking ! JE l'ai chopé par un bras, tiré sur le gazon et il en a ramassé une belle sur les miches ! Je tremblais de peur.
Bien sûr j'ai expliqué... bien sûr... après.
J'ai reçu des fessées petite... ma mère avait la main facile... un peu trop... pour autant je n'ai pas été une enfant martyr ou battue ou autre. Une mère un peu trop sévère et pas assez tendre.
Mon père ne m'a jamais touchée. Mais j'étais une enfant facile. Les deux suivants... ont été terribles et j'ai vu ma mère en pleurer.
Ce n'est pas qu'on se sent dépassées, c'est qu'à un moment... il n'y a plus de possibilité de dialoguer avec un enfant difficile. Même si c'est l'habitude de la maison, si le dialogue et l'explication sont l'habitude éducative... PArfois aussi la fessée peut partir après une grosse trouille. Lucas un matin : on passe le pas de la porte et je lui dis attends une seconde j'ai oublié un truc. J'avance dans le couloir (3 mètres) je prend le truc dans mon sac et je me retourne, plus de Lucas !!!! Et cela en mois de 30 secondes !
Je précise qu'on habite dans les logements de fonction du Lycée que tout le monde connait Lucas ici et qu'il ne risque pas de faire une mauvaise rencontre dans l'immeuble. Je descend l'étage (un seul étage chez nous) et pas de Lucas, là je flippe, les camions de livraisons manoeuvrent sur le parking (nous donnons sur les cuisines)... et je vois mon Lucas... en train de faire le couillon sur ce parking ! JE l'ai chopé par un bras, tiré sur le gazon et il en a ramassé une belle sur les miches ! Je tremblais de peur.
Bien sûr j'ai expliqué... bien sûr... après.