moi je pense juste à la petite léa..........;qui s'est pris une grue sur la tête ....
le maire était au courant du fait que c'etait dangreux..;... il n'a pas été condamné...
celui qui conduisait la grue sans permis ... il n'a pas été condamné....
Voilà l'article dans le Monde
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-928126@51-922910,0.html
Six mois ferme pour le propriétaire d'une grue responsable de la mort d'une enfant
La récré venait de sonner et Léa, 8 ans, s'est précipitée pour s'amuser dans la cour de l'école. La flèche de la grue installée sur le chantier d'une maison voisine est tombée d'un coup et elle a tué Léa. C'était le 8 octobre 2004 à Bellentre (Savoie).
Lundi 25 juin, le tribunal correctionnel d'Albertville a condamné Jean-Michel Broche, le propriétaire de la grue, à deux ans de prison dont six mois ferme et 25 000 euros d'amende, ainsi que son fils Benoît, qui manoeuvrait l'engin, à un an avec sursis et 3 000 euros d'amende.
Au cours des débats, lundi 7 mai, le procureur de la République, Gilbert Lafaille, s'était montré particulièrement sévère en dénonçant l'utilisation par le chef d'entreprise, d'une "grue de vingt-huit ans, achetée d'occasion à bas prix et pas révisée depuis huit ans, (qui) avait été calée n'importe comment".
"Vous faites partie des gens qui travaillent trop, qui sont habitués à prendre des risques pour eux et qui prennent des risques pour les autres", avait-il dit à Jean-Michel Broche, moniteur de ski, guide, commerçant et entrepreneur avec son fils Benoît. "Faire intervenir une société spécialisée dans le contrôle des grues aurait coûté 269 euros, la vie de Léa vaut 269 euros !", avait ajouté le procureur. "Ma fille est morte parce que vous vouliez faire de petites économies, c'est une maladie de Savoyard", avait observé à l'audience le père de Léa, Jean-Marc Montez.
Dans son réquisitoire, M. Lafaille avait également appelé le tribunal à prononcer la culpabilité du maire de la commune, Michel Girod. Rappelant que celui-ci avait été alerté par le directeur de l'école primaire, qui s'inquiétait de voir la grue survoler la cour de récréation avec des charges, le procureur a estimé que le maire "ne pouvait pas ignorer le risque que couraient les enfants". Il avait requis contre lui une peine de six mois avec sursis et 1 000 euros d'amende pour manquement à une obligation de prudence.
Modifié par la loi du 10 juillet 2000 sur les délits non intentionnels, l'article 121-3 du code pénal dispose que la responsabilité pénale des personnes "qui n'ont pas causé directement le dommage" ne peut être engagée que lorsqu'il est établi qu'elles ont "soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée, et qui exposait autrui à un risque d'une particulière gravité qu'elles ne pouvaient ignorer".
Dans ses conclusions, l'avocat de M. Girod, Me Maurice Bodecher, avait au contraire rappelé que le maire de Bellentre s'était rendu sur le chantier en septembre, pour faire suspendre l'exécution des travaux qui étaient apparus non conformes. Me Bodecher estimait que la "faute qualifiée" ne pouvait être retenue contre son client. Le tribunal l'a suivi et a relaxé le maire.
Les parents de l'enfant ont, depuis, quitté la commune de Bellentre pour s'établir à La Réunion.
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ensuite pour en revenir à la peine de mort ..............
c juste tuer qqn légalement..............
connaissez vous les techniques d'execution?????
on leur jette des pierres , on leur met du poison qui n'agit pas de suite , etc..............
verriez vous l'autre enfant de cet homme voir ça????????
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La loi du TALION n'a jamais fait avancer les choses .