B
Il y a un an aujourd'hui, nous avions rendez-vous dans une clinique à bruxelles. Après le refus d'une clinique en janvier 2004 (jugées en une demi heure sur le fait d'être capable de devenir parents). Il y a un an nous étions pleines d'espoir et de crainte avant ce rendez-vous.
Durant ce rendez-vous, nous avons rencontrés des gens formidables, un médecin, une psy et une infirmière plus sympathiques les unes que les autres, il y a an on nous a dit " quand commencez vous les inséminations? ", nous ressortions de ces rendez-vous les larmes aux yeux tant nous avions espoir et force. Nous sommes allées au restaurant avant de prendre la route du retour, avec mon père et Nath en trinquant à ce futur bébé tellement désiré.
Tant de bonheur, d'espoir pour l'avenir et de joie résonnait ce jour-là, jamais nous n'aurions pensé qu'un an après nous en serions au même stade, c'est à dire rien, juste un rêve loin encore de se réaliser.
C'est peut être ridicule mais ce jour est dur pour moi depuis ce matin, car ça fait un an depuis le vrai départ des essais, mais deux ans qu'on attend, qu'on a commencé à se renseigner sur les différents pays et cliniques, qu'on attend patiamment ces rendez-vous si long à obtenir.
Trois semaines après ce rendez vous du 27 avril 2004, je tombais enceinte le rêve continuait mais pas pour très longtemps!
C'est tellement difficile de continuer à rêver maintenant, après deux fausses-couches, trois échecs, plus de 8000km parcouru en un an.
Si quelques femmes dans notre situation lisent ce message, car il y en a peut être mais qui ne le disent pas forcément, je vous souhaite beaucoup de courage car c'est un véritable parcours du combattant. Il est clair que le désir d'enfant est mis à rude épreuve, c'est mieux que des dizaines de séances avec un psy contre notre projet.
Durant ce rendez-vous, nous avons rencontrés des gens formidables, un médecin, une psy et une infirmière plus sympathiques les unes que les autres, il y a an on nous a dit " quand commencez vous les inséminations? ", nous ressortions de ces rendez-vous les larmes aux yeux tant nous avions espoir et force. Nous sommes allées au restaurant avant de prendre la route du retour, avec mon père et Nath en trinquant à ce futur bébé tellement désiré.
Tant de bonheur, d'espoir pour l'avenir et de joie résonnait ce jour-là, jamais nous n'aurions pensé qu'un an après nous en serions au même stade, c'est à dire rien, juste un rêve loin encore de se réaliser.
C'est peut être ridicule mais ce jour est dur pour moi depuis ce matin, car ça fait un an depuis le vrai départ des essais, mais deux ans qu'on attend, qu'on a commencé à se renseigner sur les différents pays et cliniques, qu'on attend patiamment ces rendez-vous si long à obtenir.
Trois semaines après ce rendez vous du 27 avril 2004, je tombais enceinte le rêve continuait mais pas pour très longtemps!
C'est tellement difficile de continuer à rêver maintenant, après deux fausses-couches, trois échecs, plus de 8000km parcouru en un an.
Si quelques femmes dans notre situation lisent ce message, car il y en a peut être mais qui ne le disent pas forcément, je vous souhaite beaucoup de courage car c'est un véritable parcours du combattant. Il est clair que le désir d'enfant est mis à rude épreuve, c'est mieux que des dizaines de séances avec un psy contre notre projet.
