Bienvenue à la petite marylou.
C'est une longue histoire. Disons que j'ai fait beaucoup de faux travail en fin de grossesse. Le 15 à 4H, je suis allée à la mater, c'était encore un faux travail, mais la sage-femme a eu peur car le col était très mûr et le bébé très bas. Elle voulait à tout prix me déclencher et moi non, car je voulais un accouchement naturel et j'habite à 5 mn à pied de la mater.
La sage-femme de la journée quand elle est arrivée, m'a dit qu'on allait quand même pas me déclencher alors qu'il n'y avait plus de lit. Elle m'a dit que je verrais le médecin puis que je rentrerais chez moi. Une heure après, elle est revenu en disant que le médecin ne voulait pas prendre de risque (je ne l'avais pas vu et ne sais tjs pas qui c'est!) , qu'on me déclenchait de façon naturelle et qu'on me transfèrerait ensuite à l'hopital.
Elle a procédé à une rupture de la poche mais 2,3 heures après toujours pas de contractions, donc ocytocyne, je résume, bébé dod contre dos ne voulait pas tourner pour cause absence de contractions, fin d'accouchement difficile pour moi qui ne veux pas de péri, puis placenta qui ne veut pas sortir pour cause absence de contraction, puis délivrance artificielle à 18H avec rachis, puis à22 transfert du bébé d'abord puis de moi vers l'hôpital (ambulance non équipée pour prendre bébé et maman à la fois).
Pas de repas, pas un verre d'eau, pas de papiers...
Et beaucoup de trajet en bus pour mesgrands qui devaient en théorie venir me voir tant qu'ils voulaient dans la mater à proximité...
Bref, c'est ce que j'appelle de la surmédicalisation, mais peut-être un peu agrémentée de marketing ; la clinique pratique le surbooking pour éviter des lits vides, elle transfère aussi dans des villes à 60 km de Rennes.
J'avoue être encore traumatisée 2 mois après même s'il n'y a pas eu pb sanitaire.
Je ne souhaite ce type d'expérience à personne.
Mais la naissance de mon petit Nathan est unegrande joie, simplement, je crois qu'il n'aurait pas dû naître le 15.
Bon après-midi,
Marie
C'est une longue histoire. Disons que j'ai fait beaucoup de faux travail en fin de grossesse. Le 15 à 4H, je suis allée à la mater, c'était encore un faux travail, mais la sage-femme a eu peur car le col était très mûr et le bébé très bas. Elle voulait à tout prix me déclencher et moi non, car je voulais un accouchement naturel et j'habite à 5 mn à pied de la mater.
La sage-femme de la journée quand elle est arrivée, m'a dit qu'on allait quand même pas me déclencher alors qu'il n'y avait plus de lit. Elle m'a dit que je verrais le médecin puis que je rentrerais chez moi. Une heure après, elle est revenu en disant que le médecin ne voulait pas prendre de risque (je ne l'avais pas vu et ne sais tjs pas qui c'est!) , qu'on me déclenchait de façon naturelle et qu'on me transfèrerait ensuite à l'hopital.
Elle a procédé à une rupture de la poche mais 2,3 heures après toujours pas de contractions, donc ocytocyne, je résume, bébé dod contre dos ne voulait pas tourner pour cause absence de contractions, fin d'accouchement difficile pour moi qui ne veux pas de péri, puis placenta qui ne veut pas sortir pour cause absence de contraction, puis délivrance artificielle à 18H avec rachis, puis à22 transfert du bébé d'abord puis de moi vers l'hôpital (ambulance non équipée pour prendre bébé et maman à la fois).
Pas de repas, pas un verre d'eau, pas de papiers...
Et beaucoup de trajet en bus pour mesgrands qui devaient en théorie venir me voir tant qu'ils voulaient dans la mater à proximité...
Bref, c'est ce que j'appelle de la surmédicalisation, mais peut-être un peu agrémentée de marketing ; la clinique pratique le surbooking pour éviter des lits vides, elle transfère aussi dans des villes à 60 km de Rennes.
J'avoue être encore traumatisée 2 mois après même s'il n'y a pas eu pb sanitaire.
Je ne souhaite ce type d'expérience à personne.
Mais la naissance de mon petit Nathan est unegrande joie, simplement, je crois qu'il n'aurait pas dû naître le 15.
Bon après-midi,
Marie