Je dois vous avouer... | Page 14 | Femiboard: Grossesse
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Je dois vous avouer...

#66
Mape,
J'en dis beaucoup des choses mais là j'ai le souffle coupé et l'émotion de celle qui t'enlève les mots.
Ce que tu as écris dans le moindre détail m'a bouleversé.
Car tu as été forte même si souvent tu ne savais quoi faire surtout ce fameux jours en septembre...
Oui, le meilleur est à venir avec ta poupée et elle va beaucoup t'apporter et de par ton combat pour vous tu es déjà une maman comblée.
Ce message me touche car il est rempli d'espoir, ce celui dont les mamans ont besoin dans les obstacles qu'il faut affronter mais qui rendent la vie avec nos enfants encore plus belle et unique,
et il est rempli d'espoir pour les mamans à venir.
Merci et je te souhaite un bonheur infini et des instants magiques avec ce trésor qui te surprendra jour après jour.
 
#67
Je ne poste pas souvent dans cette rubrique (pas le temps), à vrai dire ... jamais ...
Mais ton message ... là, je ne pouvais pas ...
Pour moi aussi, les larmes ont coulé en lisant ton message. Quel courage, quel cran ! Et tu n'as eu "que" 8 angines ? Moi je me serai effondrée à ta place, je n'aurai pas tenu, nerveusement ... Je trouve que as eu un cran incroyable.
Nous regardons tous nos enfants avec fierté en nous disant "c'est moi qui ai fait ça". Plus que n'importe qui d'autre, tu peux te dire "Si elle sourit ajourd'hui, si elle gazouille comme ça, si elle se met debout pour marche, c'est grâce à moi !"
Je ne la connais pas, mais au lu de tes messages, c'est la petite fille la plus heureuse du monde, et elle n'aurait pas été comme ça si tu ne lui avait pas tenu la main pendant cette année !
La douleur, la peur, les examens, elle les a oublié. Je sais bien que je n'ai que peu d'expérience, mais je me souviens d'Augustine hurlant ses coliques, et moi, incapable de la soulager, si ce n'est que lui tenir la main et lui dire "ce n'est rien, je suis la". Le lendemain, elle me regardait comme si rien ne s'était passé.
Ta fille était un livre aux pages vierges. Elle a effacé la souffrance et gardé l'amour que tu lui as montré pendant cette année. A toi maintenant de blanchir à nouveau les pages de ton propre livre et y faire de la place pour l'amour qu'elle va y graver.
 

etole

Elle a planté sa toile de tente dans un petit coin
#68
et bien mape, je ne savais pas.
Je crois que lorsque la douleur touche nos enfants, on est forcément démunis.
Tu dis que gabrielle et toi n'avez pas la relation mère -enfant fusionnelle. Tu l'aimes et çà elle a bien dû le comprendre.
toutes mes pensées affectueuses