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- Auteur de la discussion calie
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Oui je sais bien qu'il faut être à l'écoute de son corps mais comme c'est ma première grossesse, je ne déchiffre peut-être pas toujours tous les signes comme il faut.
Marly, moi je ne suis pas prof mais aide de labo, c'est à dire parfois des journées de 11h debout non stop (juste 1/2h pour manger) à aller et venir entre les étages et à porter des charges (appareils de physique, tiroirs d'échantillons en géologie...) et respirer des produits chimiques (manips en bio et chimie), d'où mes interrogations...
Quand je rentre le soir après avoir rajouter la route à ma journée, j'ai le ventre dur, il me lance. Une des profs de SVT avec qui je bosse m'a dit qu'elle pensait que c'était des contractions et qu'il fallait que je fasse attention. On m'a conseillé de ralentir le rythme mais il y a tellement de travail aux labos que je n'ai pas le temps de souffler. J'aimerais au moins pouvoir aller jusqu'aux vacances de Tousaint mais je ne veux surtout pas me surestimer et faire courir des risques à mon bébé.
C'est si dificile de sentir ça! J'en déprime, si bien que ce matin j'étais si mal que j'ai pleuré dans les bras de mon chéri, il est merveilleux, heureusement. Je me sens un peu perdue et si fragile psychologiquement, ça ne me ressemble pas, je ne me reconnais plus!
Merci en tout cas les filles pour votre écoute et vos conseils!
Plein de bisous!
Lule
Marly, moi je ne suis pas prof mais aide de labo, c'est à dire parfois des journées de 11h debout non stop (juste 1/2h pour manger) à aller et venir entre les étages et à porter des charges (appareils de physique, tiroirs d'échantillons en géologie...) et respirer des produits chimiques (manips en bio et chimie), d'où mes interrogations...
Quand je rentre le soir après avoir rajouter la route à ma journée, j'ai le ventre dur, il me lance. Une des profs de SVT avec qui je bosse m'a dit qu'elle pensait que c'était des contractions et qu'il fallait que je fasse attention. On m'a conseillé de ralentir le rythme mais il y a tellement de travail aux labos que je n'ai pas le temps de souffler. J'aimerais au moins pouvoir aller jusqu'aux vacances de Tousaint mais je ne veux surtout pas me surestimer et faire courir des risques à mon bébé.
C'est si dificile de sentir ça! J'en déprime, si bien que ce matin j'étais si mal que j'ai pleuré dans les bras de mon chéri, il est merveilleux, heureusement. Je me sens un peu perdue et si fragile psychologiquement, ça ne me ressemble pas, je ne me reconnais plus!
Merci en tout cas les filles pour votre écoute et vos conseils!
Plein de bisous!
Lule