Bonjour à toutes et à tous.
J'avoue que je ne viens que épisiodiquement sur ce forum, qui est par ailleurs vraiment super !
Mais j'avais besoin de parler de mon problème à des personnes qui peuvent comprendre.
Voilà, je suis enceinte d'un petit matelot depuis 26 semaines et quelques jours..
Après une première grossesse qui s'est terminée à 35 SA (précédent 3 semaines allitée à la clinique) avec l'arrivée prématurée d'une petite princesse, je savais très bien que la deuxième grossesse serai plus "risquée" que la normale (malgré les dires de ma gynéco qui m'assurait qu'on ne sait jamais ce qui peut se passer).
Et hier, à la consultation mensuelle, j'ai su que quelque chose n'allait pas, rien qu'en regardant l'expression de ma gynéco entrain de m'éxaminer.
Col raccourci, mou...
Vent de panique.. j'avais l'impression de me retrouver 2 ans auparavant, quand mon gynéco m'a annoncé que je ne rentrais pas chez moi parce que j'étais entrain d'accoucher !
Un coup de fil... on m'attend en salle de pré-travail pour un monitoring et une écho du col.
J'essaye de faire bonne figure devant ma petite.. mais en moi, j'ai envie de fondre en larmes.
Après 3/4 d'heure de monitoring, aucunes contractions à l'horizon.
Il faut qu'on attende des heures pour avoir accès à l'échographie. Heureusement que j'ai pensé à apporter le gouter de ma fille.
Mon compagnon arrive, enfin. Il s'occupe un peu de la petite. Elle en a marre d'attendre. Moi aussi.
18 h, on vient nous chercher pour l'écho du col.
En effet, il est un peu raccourci, mais la bonne nouvelle, c'est que le bébé n'appuie pas dessus.
Bref, je peux rentrer chez moi (après 5 heures passées à l'hopital), avec une ordonnance pour une sage femme à domicile 2 fois pas semaine et interdiction formelle de faire quelque effort que ce soit.
Je me dis que ça aurait pu être pire. Ils aurait pu me garder à l'hopital pour les 3 mois qu'il me reste... ou j'aurai pu accoucher si j'étais réellement en travail !
Mais rien qu'à l'idée que je suis cloîtrée chez moi, à plus pouvoir faire le ménage, ou à emmener ma fille au parc d'à côté... ça me mets un coup au moral.
D'autant plus que je suis maintenant "dépendante" de mon compagnon, qui doit s'occuper de la maison en plus de son travail... Je n'aime pas cette idée.
Je vous remercie de m'avoir lue, ça fait du bien d'exprimer tout ça.
J'avoue que je ne viens que épisiodiquement sur ce forum, qui est par ailleurs vraiment super !
Mais j'avais besoin de parler de mon problème à des personnes qui peuvent comprendre.
Voilà, je suis enceinte d'un petit matelot depuis 26 semaines et quelques jours..
Après une première grossesse qui s'est terminée à 35 SA (précédent 3 semaines allitée à la clinique) avec l'arrivée prématurée d'une petite princesse, je savais très bien que la deuxième grossesse serai plus "risquée" que la normale (malgré les dires de ma gynéco qui m'assurait qu'on ne sait jamais ce qui peut se passer).
Et hier, à la consultation mensuelle, j'ai su que quelque chose n'allait pas, rien qu'en regardant l'expression de ma gynéco entrain de m'éxaminer.
Col raccourci, mou...
Vent de panique.. j'avais l'impression de me retrouver 2 ans auparavant, quand mon gynéco m'a annoncé que je ne rentrais pas chez moi parce que j'étais entrain d'accoucher !
Un coup de fil... on m'attend en salle de pré-travail pour un monitoring et une écho du col.
J'essaye de faire bonne figure devant ma petite.. mais en moi, j'ai envie de fondre en larmes.
Après 3/4 d'heure de monitoring, aucunes contractions à l'horizon.
Il faut qu'on attende des heures pour avoir accès à l'échographie. Heureusement que j'ai pensé à apporter le gouter de ma fille.
Mon compagnon arrive, enfin. Il s'occupe un peu de la petite. Elle en a marre d'attendre. Moi aussi.
18 h, on vient nous chercher pour l'écho du col.
En effet, il est un peu raccourci, mais la bonne nouvelle, c'est que le bébé n'appuie pas dessus.
Bref, je peux rentrer chez moi (après 5 heures passées à l'hopital), avec une ordonnance pour une sage femme à domicile 2 fois pas semaine et interdiction formelle de faire quelque effort que ce soit.
Je me dis que ça aurait pu être pire. Ils aurait pu me garder à l'hopital pour les 3 mois qu'il me reste... ou j'aurai pu accoucher si j'étais réellement en travail !
Mais rien qu'à l'idée que je suis cloîtrée chez moi, à plus pouvoir faire le ménage, ou à emmener ma fille au parc d'à côté... ça me mets un coup au moral.
D'autant plus que je suis maintenant "dépendante" de mon compagnon, qui doit s'occuper de la maison en plus de son travail... Je n'aime pas cette idée.
Je vous remercie de m'avoir lue, ça fait du bien d'exprimer tout ça.