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zavez vu la tite amilia.......
- Auteur de la discussion Bo yeux
- Date de début
Amillia Taylor, qui est née à Miami, en Floride, le 24 octobre 2006, étonne les spécialistes en néonatalogie, qui ne pariaient pas cher de sa survie. À ce stade de la prématurité, à peine 1 % des bébés restent en vie (lire ci dessous). "Je me préparais au pire et m'apprêtais à donner la mauvaise nouvelle à la mère" , a déclaré à ce sujet le Dr Lievano qui a mis Amillia au monde.
La mère du bébé miracle était en visite chez des amis à Miami, quand le travail a débuté... à 19 semaines de conception seulement. Les médecins l'ont hospitalisée en urgence et ont tenté de retarder la naissance, mais à 21 semaines et 6 jours, ils ont été contraints de pratiquer une césarienne. Il n'y a aucun doute sur la durée réelle de la grossesse, car l'enfant a été conçu par une insémination artificielle, à une date qui est donc bien déterminée.
Le prématuré le plus extrême à survivre au monde ne pesait que 284 grammes à la naissance pour une vingtaine de centimètres. Pendant deux mois, le bébé a vécu dans un incubateur et a dû subir une chirurgie plastique car son oreille gauche a été tordue pendant la délivrance.
Quatre mois plus tard, Amillia pèse 1,8 kilo et mesure soixante-cinq centimètres. Elle a été autorisée à rentrer à la maison, mais gardera une assistance respiratoire (oxygène).
Elle a éprouvé des complications respiratoires, une hémorragie cérébrale très légère et quelques problèmes digestifs, mais les docteurs pensent qu'aucune de ces affections ne devrait lui nuire à long terme. Ils sont, en revanche, moins formels sur le suivi cérébral du bébé miracle.
La mère du bébé miracle était en visite chez des amis à Miami, quand le travail a débuté... à 19 semaines de conception seulement. Les médecins l'ont hospitalisée en urgence et ont tenté de retarder la naissance, mais à 21 semaines et 6 jours, ils ont été contraints de pratiquer une césarienne. Il n'y a aucun doute sur la durée réelle de la grossesse, car l'enfant a été conçu par une insémination artificielle, à une date qui est donc bien déterminée.
Le prématuré le plus extrême à survivre au monde ne pesait que 284 grammes à la naissance pour une vingtaine de centimètres. Pendant deux mois, le bébé a vécu dans un incubateur et a dû subir une chirurgie plastique car son oreille gauche a été tordue pendant la délivrance.
Quatre mois plus tard, Amillia pèse 1,8 kilo et mesure soixante-cinq centimètres. Elle a été autorisée à rentrer à la maison, mais gardera une assistance respiratoire (oxygène).
Elle a éprouvé des complications respiratoires, une hémorragie cérébrale très légère et quelques problèmes digestifs, mais les docteurs pensent qu'aucune de ces affections ne devrait lui nuire à long terme. Ils sont, en revanche, moins formels sur le suivi cérébral du bébé miracle.
moi je reste mal à l'aise face à ça...je ne sais pas trop quoi penser, ce bébé est tellement petit et a surement pas mal souffert, peut-on etre sur là alors qu'elle ne pèse que 1kg et quelque qu'il n'y aurait aucune séquelle alors qu'avec les préma c'est souvent que plus tard à 3ans qu'on découvre des soucis de mémorisation, de motorisation...bref, mon bébé serait né tellement petit je ne sais pas si j'aurais pu le regarder si fragile se faire réanimer...rien que la vue des couches en "coton" à la naissance me rendait triste...je lui souhaite bien sur que du bonheur et une bonne santé mais je suis mal à l'aise face à ça...et cette histoire va servir aux arguments anti-avortements là-bas, mais ça c'est encore une autre histoire...
Je suis un peu d'accord avec toi Leabe. C'est très émouvant, mais cela met un peu mal à l'aise...
D'un côté c'est tellement merveilleux de voir ce petit miracle, ce petit bout de rien du tout qui s'accroche à la vie de toutes ses forces ...
D'un autre côté, quelles souffrances, et quel avenir pour ce petit ? Déjà un prématuré "moins extrême", on se pose souvent tellement de questions sur son développement ... alors à ce stade là ?
Si j'étais la maman, je me serai peut etre posée la question de l'utilité de tout cela, même si on ne peut qu'éprouver un grand amour pour son enfant.
Plus que la question de l'avortement, il s'agit plutot du débat sur l'euthanasie ou l'acharnement thérapeutique: si on arrive à faire naitre vivant un si petit bébé, a-t-on le droit de le laisser mourir ou doit-on décider de ne pas le faire souffrir autant?
Je n'ai pas d'opinion sur la question, juste des interrogations ...
D'un côté c'est tellement merveilleux de voir ce petit miracle, ce petit bout de rien du tout qui s'accroche à la vie de toutes ses forces ...
D'un autre côté, quelles souffrances, et quel avenir pour ce petit ? Déjà un prématuré "moins extrême", on se pose souvent tellement de questions sur son développement ... alors à ce stade là ?
Si j'étais la maman, je me serai peut etre posée la question de l'utilité de tout cela, même si on ne peut qu'éprouver un grand amour pour son enfant.
Plus que la question de l'avortement, il s'agit plutot du débat sur l'euthanasie ou l'acharnement thérapeutique: si on arrive à faire naitre vivant un si petit bébé, a-t-on le droit de le laisser mourir ou doit-on décider de ne pas le faire souffrir autant?
Je n'ai pas d'opinion sur la question, juste des interrogations ...