Cela se passe dans un amphi d'étudiants en médecine.
Un Grand Ponte de la Fac s'approche du bureau, sort un bocal empli d'un liquide jaunatre de sa sacoche, l'ouvre, empoigne le micro, et leur assène le discours suivant :
"Jeunes gens, vous rèvez tous surement de faire une grande carrière en ville, avec à disposition immédiate toutes les commodités de la médecine moderne.
Mais il peut vous arriver de vous retrouver soit médecin de campagne, dans un recoin peu avantagé de la France, soit médecin Humanitaire, dans un pays en difficulté, etc, etc...
Il faut donc aussi savoir exercer votre art avec un minimum de matériel et de moyens.
Prenez un exemple :
On vous appelle au chevet d'un patient qui vient de faire un malaise. Vu les symptômes, vous suspectez un problème de diabète, mais vous n'avez aucun moyen de faire l'analyse d'urine qui confirmerait ce diagnostic. Comment faire ?"
...... Calme plat dans l'amphi......
Le Grand Ponte reprend :
"Dans ces cas là, jeunes gens, il faut avoir le courage de payer de sa personne. Imaginez, par exemple, que vous venez de demander à votre patient d'uriner dans ce bocal. Eh bien le seul moyen de vérifier est de goûter l'urine !"
Aussitôt dit, aussitôt fait, le Courageux Ponte (si si, y'en a), plonge un doigt dans le bocal d'urine, le lèche, et dit :
"effectivement, c'est de l'urine sucrée. Maintenant, ce n'est pas tout de me croire sur parole, il faut aussi vérifier par vous même. Il me faut donc un courageux volontaire pour venir répéter l'expérience".
.........Calme plat...... et comme le Patron attend toujours, un volontaire se lève, va au bureau, plonge son doigt dans le bocal, le lèche, fait une horrible grimace, puis dit :
"effectivement, c'est sucré".
Le Ponte reprend alors :
"C'est très bien, Jeune Homme, vous avez déjà le courage des Grands Médecins, mais maintenant, il vous faut acquérir leur sens de l'observation.
Si vous m'aviez bien observé, vous auriez vu que si j'ai trempé l'index dans le bocal, c'est le majeur que j'ai léché !"
Un Grand Ponte de la Fac s'approche du bureau, sort un bocal empli d'un liquide jaunatre de sa sacoche, l'ouvre, empoigne le micro, et leur assène le discours suivant :
"Jeunes gens, vous rèvez tous surement de faire une grande carrière en ville, avec à disposition immédiate toutes les commodités de la médecine moderne.
Mais il peut vous arriver de vous retrouver soit médecin de campagne, dans un recoin peu avantagé de la France, soit médecin Humanitaire, dans un pays en difficulté, etc, etc...
Il faut donc aussi savoir exercer votre art avec un minimum de matériel et de moyens.
Prenez un exemple :
On vous appelle au chevet d'un patient qui vient de faire un malaise. Vu les symptômes, vous suspectez un problème de diabète, mais vous n'avez aucun moyen de faire l'analyse d'urine qui confirmerait ce diagnostic. Comment faire ?"
...... Calme plat dans l'amphi......
Le Grand Ponte reprend :
"Dans ces cas là, jeunes gens, il faut avoir le courage de payer de sa personne. Imaginez, par exemple, que vous venez de demander à votre patient d'uriner dans ce bocal. Eh bien le seul moyen de vérifier est de goûter l'urine !"
Aussitôt dit, aussitôt fait, le Courageux Ponte (si si, y'en a), plonge un doigt dans le bocal d'urine, le lèche, et dit :
"effectivement, c'est de l'urine sucrée. Maintenant, ce n'est pas tout de me croire sur parole, il faut aussi vérifier par vous même. Il me faut donc un courageux volontaire pour venir répéter l'expérience".
.........Calme plat...... et comme le Patron attend toujours, un volontaire se lève, va au bureau, plonge son doigt dans le bocal, le lèche, fait une horrible grimace, puis dit :
"effectivement, c'est sucré".
Le Ponte reprend alors :
"C'est très bien, Jeune Homme, vous avez déjà le courage des Grands Médecins, mais maintenant, il vous faut acquérir leur sens de l'observation.
Si vous m'aviez bien observé, vous auriez vu que si j'ai trempé l'index dans le bocal, c'est le majeur que j'ai léché !"
