J'espère que vous êtes nombreux à regarder Un Village français cette merveilleuse fiction si proche de la réalité ... un petit village français ,pendant l'occupation,avec des personnages attachants que nous devrions suivre pendant 5 ans!!!!!!!!!!!
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Fance 3 entame, ce soir à 20h35, la diffusion d’une série d’une ampleur inédite sur le petit écran, consacrée aux années noires qu’a connues la France.
Raconter l’Occupation dans une ville fictive du Jura, à raison de douze épisodes de 52 minutes par année d’Occupation : c’est le projet hors-normes qu’entreprend la Trois ce soir avec sa nouvelle série au long cours. Si les audiences sont bonnes, les téléspectateurs pourront ainsi suivre Un village français pendant cinq ans. "Le gros avantage qu’offre la durée, explique le scénariste Frédéric Krivine, c’est de prendre la condition humaine dans tous ses angles et dans toutes ses ambiguïtés et de montrer les hésitations, les zones d’ombre et les arrangements qui régnaient à cette époque." Pas de caricature et de manichéisme donc dans cette chronique, réalisée avec le concours de l’historien Jean-Pierre Azéma. Un village français montre l’Histoire vue d’en bas, à hauteur d’hommes et de femmes ni tout blancs ni tout noirs, qui vont se déterminer au fil du temps en fonction de paramètres variés. Des hommes et des femmes comme Daniel le médecin citoyen, Lucienne la timide institutrice ou Marcel le militant communiste qui vont aussi s’aimer, souvent en secret, se tromper, se jalouser, se quereller ou s’entraider. "Ce n’est pas un film d’antiquaire, insiste le réalisateur Philippe Triboit, la reconstitution des faits ne doit pas prendre le pas sur les personnages. Un village français est une série romanesque, qui est censée procurer du plaisir et du divertissement au public, même si elle génère un supplément d’âme et de réflexion." Mission réussie à en juger par les deux épisodes diffusés ce soir."

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Fance 3 entame, ce soir à 20h35, la diffusion d’une série d’une ampleur inédite sur le petit écran, consacrée aux années noires qu’a connues la France.
Raconter l’Occupation dans une ville fictive du Jura, à raison de douze épisodes de 52 minutes par année d’Occupation : c’est le projet hors-normes qu’entreprend la Trois ce soir avec sa nouvelle série au long cours. Si les audiences sont bonnes, les téléspectateurs pourront ainsi suivre Un village français pendant cinq ans. "Le gros avantage qu’offre la durée, explique le scénariste Frédéric Krivine, c’est de prendre la condition humaine dans tous ses angles et dans toutes ses ambiguïtés et de montrer les hésitations, les zones d’ombre et les arrangements qui régnaient à cette époque." Pas de caricature et de manichéisme donc dans cette chronique, réalisée avec le concours de l’historien Jean-Pierre Azéma. Un village français montre l’Histoire vue d’en bas, à hauteur d’hommes et de femmes ni tout blancs ni tout noirs, qui vont se déterminer au fil du temps en fonction de paramètres variés. Des hommes et des femmes comme Daniel le médecin citoyen, Lucienne la timide institutrice ou Marcel le militant communiste qui vont aussi s’aimer, souvent en secret, se tromper, se jalouser, se quereller ou s’entraider. "Ce n’est pas un film d’antiquaire, insiste le réalisateur Philippe Triboit, la reconstitution des faits ne doit pas prendre le pas sur les personnages. Un village français est une série romanesque, qui est censée procurer du plaisir et du divertissement au public, même si elle génère un supplément d’âme et de réflexion." Mission réussie à en juger par les deux épisodes diffusés ce soir."